


Adapté de l'ouvrage du même nom de Constance Debré, sorti en 2020 et retraçant en autofiction son combat suite à la perte de garde de son fils, le film de la jeune cinéaste Anna Cazenave Carbet a fait ses débuts à Cannes dans la section Un Certain Regad, et suit Clémence, brillamment interprétée par l'actrice Vicky Krieps, dans son combat pour une émancipation identitaire envers et contre tout.
« Anna Cazenave Cambet adapte le livre autobiographique de Constance Debré sans en effacer la radicalité, mais en y insufflant romanesque et sentimentalité. Une réussite. » (Boris Bastide, Le Monde)
« Dans son second long-métrage Anna Cazenave Cambet, offre une lecture très personnelle du roman autobiographique de Constance Debré. Un ouvrage de cinéma délicat, servit par une prestation magistrale de Vicky Krieps. » (Adrien Gombeaud, Les Échos)

« Chapitré par saisons, d’un printemps à l’autre, "L’Amour qu’il nous reste" se pare aussi d’un humour à froid, grâce notamment à quelques passages oniriques représentant ces choses que l’on peut parfois s’imaginer, notamment par désir qu’un karma vienne rétablir une certaine justice. S’amusant avec ces représentations, l’auteur questionne aussi la virilité du père, tandis qu’il affirme le désir d’émancipation de la mère, au sein de cette comédie dramatique surprenante et pleine de tendresse où la nature islandaise, filmée en gros plan joue le rôle ponctuel de facteur d’apaisement. » (Olivier Bachelard, Abus de Ciné)

Tourné dans le massif du Jura ainsi qu'au Groenland, lieu de prédilection du cinéaste qui y avait déjà tourné Le Voyage au Groenland, et présenté en première mondiale dans la section « Panorama » de la Berlinale 2025, le nouveau film de Sébastien Betbeder réunit Blanche Gardin, magistrale dans un rôle sobre et touchant, ainsi que Bastien Bouillon et Philippe Katerine pour incarner une fratrie partie pour un voyage qui les changera à jamais.
« Habituée au trash, l’humoriste Blanche Gardin est surprenante d’émotion dans l’escapade mi-jurassienne mi-groenlandaise de Sébastien Betbeder. Un nouveau film à la fois grinçant et délicat. » (Samuel Douaire, Télérama)
« Sans jamais sombrer dans le pathos, on vibre avec le personnage de Gardin et on s’immerge avec le sourire malgré tout dans la communauté inuite. On parle aussi avec beaucoup de justesse des liens dans une fraternité. C’est beau, c’est fort mais c’est aussi simple encore une fois sans que ce soit péjoratif. Un film étonnant dans sa construction et réussi dans ce qu’il entreprend. » (Rémy Fiers, Sens Critique)
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