12 janvier


Le P'tit CityClub

11h

RENARD ET LAPINE SAUVENT LA FORÊT

DÈS 4 ANS

De Mascha Halberstad
Animation, Pays-Bas/Luxembourg/Belgique, 2024, 1h11, en français, 0/6 ans

Il se passe des choses étranges dans la forêt! Hibou a disparu, des rats malicieux terrorisent le voisinage et un grand lac qui n’existait pas auparavant déborde, menaçant les maisons de la forêt. Serait-ce l'œuvre d'un castor mégalomane? Renard et Lapine sont bien décidés à le découvrir. Ensemble, le duo et ses amis doivent retrouver Hibou et sauver la situation. Leur amitié sera mise à rude épreuve!

Mascha Halberstad, réalisatrice de Chonchon, le plus mignon des cochons, signe un nouveau film d'aventures, s'inspirant des livres jeunesse de Sylvia Vanden Heede. Elle raconte, avec une belle dose d'humour et de bizarreries, une histoire pleine de rebondissements, où priment l’amitié et l’entraide. Un film présenté au festival de Berlin, dans la section dédiée au jeune public, et au festival du film d'animation d'Annecy.

Dossier
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SÉANCE RELAX
Les séances «Relax» offrent un cadre bienveillant et rassurant aux familles avec un enfant qui a des besoins spécifiques: ouvertes à toutes et à tous, encadrées par des personnes compétentes, elles donnent la possibilité aux enfants de s'exprimer, d’entrer et de sortir de la salle à tout moment, de se manifester, avec un respect pour chacun et chacune.
Toutes les infos sur l'association Relax Culture: www.relax-culture.ch

LE P'TIT CITYCLUB
> Le programme de septembre à décembre 2024
> Le programme de janvier à mai 2025
INFOS PRATIQUES
Portes: 30 minutes avant le début des projections
Tarifs: CHF 10.- par entrée / 5.- par enfant dès le deuxième enfant

Le P'tit CityClub

14h30

Dounia, le grand pays blanc

DÈS 6 ANS

De Marya Zarif et André Kadi
Animation, Canada, 2023, 50 minutes, en français, 6/8 ans

Dounia et ses grands-parents, après avoir dû partir de chez eux, apprivoisent le Canada, ce nouveau pays qui les accueille: les saisons, les spécialités culinaires, les langues… Dans ce village rural, ce sont trois cultures qui se rencontrent: la syrienne de Dounia, la québécoise de Rosalie et l’autochtone de Miguizou. Dounia doit aussi vivre avec les traumatismes de la guerre et surmonter l’absence de son père. Heureusement, son nouvel entourage l'aide à avancer…
Après Dounia et la princesse d'Alep (projeté en 2023 au CityClub), qui narrait l'exil de Dounia et sa famille quittant leur pays en guerre, Marya Zarif et André Kadi racontent avec douceur la nouvelle vie de Dounia au Canada. Le duo réalise un film sobre et élégant, abordant avec finesse les thématiques de l'asile et des séquelles de la guerre.

SÉANCE RELAX
Dimanche 12 janvier à 14h30
Les séances «Relax» offrent un cadre bienveillant et rassurant aux familles avec un enfant qui a des besoins spécifiques: ouvertes à toutes et à tous, encadrées par des personnes compétentes, elles donnent la possibilité aux enfants de s'exprimer, d’entrer et de sortir de la salle à tout moment, de se manifester, avec un respect pour chacun et chacune.
Toutes les infos sur l'association Relax Culture: www.relax-culture.ch

LE P'TIT CITYCLUB
> Le programme de septembre à décembre 2024
> Le programme de janvier à mai 2025

INFOS PRATIQUES
Portes: 30 minutes avant le début des projections
Tarifs: CHF 10.- par entrée / 5.- par enfant dès le deuxième enfant

films du mois

16h30

oh, Canada

De Paul Schrader
Avec Richard Gere, Jacob Elordi, Uma Thurman
Fiction, États-Unis, 2024, 1h35, v.o. s-t fr., 16/16

Un célèbre documentariste canadien accorde une ultime interview à l’un de ses anciens élèves, pour dire enfin toute la vérité sur ce qu’a été sa vie. Une confession filmée sous les yeux de sa dernière épouse…

Paul Schrader adapte le roman Foregone de Russell Banks et retrouve Richard Gere, plus de quarante ans après American Gigolo. Il réalise un film-puzzle introspectif, présenté en compétition à Cannes, sur un cinéaste au crépuscule de sa vie. Oh, Canada est projeté en première suisse et en exclusivité en janvier au Cinéma CityClub.

«Quand mon ami, l’écrivain Russell Banks, est tombé malade, je jonglais entre différentes idées. J’ai compris que la mortalité devait être l’objet de mon prochain film. Russell avait écrit un livre à ce sujet lorsqu’il était bien portant: Foregone ("Inéluctable"). Il avait souhaité l’intituler "Oh, Canada", mais c’était impossible à cause du livre Canada de l’auteur Richard Ford. Russell m’a demandé de donner au film son titre initial. C’est pourquoi "Foregone" s’intitule "Oh, Canada". Leonard, dans mon film, est devenu un documentariste célèbre après s’être enfui au Canada pour échapper à la guerre du Vietnam. Malade chez lui à Montréal, il donne une interview à ses anciens étudiants. "J’ai passé ma vie à obtenir des gens qu’ils me confient leur vérité", dit-il. "Maintenant, c’est à mon tour."» (Paul Schrader)

«Plus Schrader assume la substitution des corps d’un plan à l’autre, plus il se rapproche d’une conception du cinéma opposée à toute unification identitaire. Chaque plan institue une différence d’avec soi, son corps, sa parole.» (Cahiers du cinéma)

«Une approche du storytelling tout en digressions et en mystères insolubles qui, en contrevenant à tous les codes de linéarité, transmet remarquablement l’arborescence un peu bordélique qu’est l’existence – les choix que l’on faits, parfois sans raison, juste sur la foi de l’instinct, d’une peur soudaine, d’un hasard.» (CinemaTeaser)

«Les retrouvailles entre Paul Schrader et Richard Gere, plus de 40 ans après American Gigolo, sont aussi bouleversantes que crépusculaires. Un jeu de miroir sur fond de mort, de vieillesse et d'héritage, qui ne pouvait que nous toucher.» (Konbini)



films du mois

18h30

La Source

De Meryam Joobeur
Fiction, Tunisie/France/Canada, 2024, 1h58, v.o. s-t fr, 16/16

Dans un village reculé de Tunisie, Aicha et Brahim sont dévastés par le départ inexpliqué de leurs fils, partis pour une guerre indicible. Quand l’un d’eux revient avec une mystérieuse fiancée voilée et muette, les parents décident de taire ce retour. Mais Bilal, un policier et ami de longue date, enquête sur des événements inquiétants. Ses suspicions ne tardent pas à le mettre sur la piste de la famille…

Pour son premier long-métrage, sélectionné en compétition à Berlin en 2024, la cinéaste canado-tunisienne Meryam Joobeur propose un drame envoûtant et onirique, qui se distingue par une mise en scène et une photographie remarquables.

«Extrêmement stylisé tout en étant ancré dans un réalisme très terre-à-terre, le film révèle indiscutablement une cinéaste plus qu’ingénieuse, habile à suggérer les métaphores sans les éclaircir totalement. Flirtant avec les genres fantastiques et d’enquête, la peur et les énigmes, la récente actualité géopolitique (Daech) et la vie pastorale d’un petit village, la réalisatrice ne perd jamais son fil conducteur (l’amour d’une mère et une famille plongée dans des dilemmes inédits) mais elle l’entortille au point de porter la frontière entre rêve (cauchemar) et réalité à un degré de porosité aigu garantissant un suspense séduisant pour le spectateur.» (CinEuropa)

«Le format de l’image cadre les personnages et offre un effet d’immersion. Autour d’elles et eux se déploie un séduisant monde riche en couleurs : la réalité qui nous est dépeinte ne peut pas être en noir et blanc. Qu’est-ce qui reste dans le sable, que cachent le silence et la sidération? Le remarquable travail photographique invite dans le regard une sensibilité particulière, dans cet espace trouble entre réalisme et magie.» (Le Polyester)



films du mois

20h45

C'est pas moi

De Leos Carax
Doc., France, 2024, 42 minutes, en français, 16/16

Pour une exposition qui n’a finalement pas eu lieu, le Centre Pompidou avait demandé au cinéaste de répondre en images à la question: "Où en êtes-vous, Leos Carax?". Il tente une réponse, pleine d’interrogations. Sur lui, sur "son" monde…

Le réalisateur de Pola X, Holy Motors ou Annette signe un moyen-métrage sous la forme d'une lettre filmée. Il en résulte un essai cinématographique et poétique, revisitant sa filmographie, son rapport au cinéma et son parcours de vie.

«Le cinéaste fait son introspection dans un film de montage où il déploie largement son imagination sensorielle.» (Le Monde)

«À la commande d’un film pour une exposition qui n’a jamais eu lieu, Leos Carax a choisi de répondre par un sublime geste cinématographique: la lettre filmée. Dans ce tendre film, le cœur balance entre souvenirs cinéphiles et élégie de la filiation d’un citoyen-filmeur parcouru par l’amour.» (Bande à part)

«C’est pas moi documente le vertige d’un cinéaste jouant avec des images qui perdent leur sens, décharnées. On n’en voit plus que l’envers, la fabrication sur fond de ténèbres. Où en est-il, Leos Carax? Il pleure et rit dans un grand nulle part, là où il fait tout noir.» (Cahiers du cinéma)

Le cinéaste s’émeut que les images, comme nos yeux, ne clignent plus. Son film cligne bien. Poétique et généreux. Et par le jeu d’un montage incroyablement touffu et limpide, s’opère un vertige. C’est pas moi, c’est bien lui. (Première)

«Surplombé par le fantôme de son idole, Jean-Luc Godard, le moyen-métrage du cinéaste est ponctué d’images mélancoliques, de visages familiers et d’extraits de home movies émouvants.» (Libération)

«Le film est à la fois un requiem et une ode à la vie.» (Télérama)

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