20 mars


Le P'tit CityClub

11h

Concert: Andreas Schaerer 4tet

CONCERT TOUT PUBLIC

Un Italien, un Finlandais et deux Suisses: les quatre talentueux artistes du quartet A Novel of Anomaly proposent une musique colorée, teintée de jazz et de sonorités propres aux origines de chacun. Un concert des plus enthousiasmants pour petits et grands!

LE CONCERT
La veille, ils donnent un concert pour les grands ; le dimanche, ils jouent pour les enfants ! L’univers de ce quartet à la palette musicale hors du commun est une merveille à découvrir dans cette formule pour tous les âges. La fantaisie du batteur Lucas Niggli qui utilise plein de petits objets et de mystérieuses clochettes ramenées du bout du monde, les extraordinaires accordéoniste Luciano Biondini et guitariste Kalle Kalima, cette voix si fascinante et inventive d’Andreas Schaerer que l’on s’amuse parfois à appeler notre « Bobby McFerrin » de Berne , et ensemble, une joie communicative… : tout est fait pour sensibiliser les enfants à la musique, la transmettre avec générosité, et repartir en chantant des chabadabada.
Avec: Andreas Schaerer (voix), Luciano Biondini (accordéon), Kalle Kalima (guitare), Lucas Niggli (batterie)

LE P'tit CityClub
> Télécharger le programmme de janvier à mai 2022

CONCERT POUR LES GRANDS
Samedi 19 mars, concert d'Andreas Schaerer A Novel of Anomaly 4tet pour les adultes.
> Infos et billets

LIEN
> Le site d'Andreas Schaerer

INFOS PRATIQUES
Portes: 10h15, Concert: 11h, Durée: 1h
Tarif unique: 15.- par entrée


films du mois

16h30

Freda

De Gessica Généus
Fiction, Haïti, Bénin, France, 2021, 1h33, v.o s-t fr., 16/16

Brisé par les séismes, Haïti est enseveli sous la corruption, la violence et l’héritage colonial. Freda habite avec sa mère et sa sœur à Port-au-Prince, où elles survivent grâce à leur boutique de rue. Du haut de ses 20 ans et malgré les difficultés, Freda refuse toute résignation et veut croire en l’avenir de son pays. Mais comment rester quand tout vous pousse à partir?
Remarquée en 2017 avec Le jour se lèvera, Gessica Généus signe ici son premier long-métrage de fiction, tourné en créole et porté par des comédiennes extraordinaires. Elle raconte son pays avec amour, chante son courage et célèbre la joie profonde qui y persiste, envers et contre tout. Un film sélectionné au Festival de Cannes (Un Certain Regard) et lauréat du Prix du Public au FIFF de Namur.
«Chronique de la vie quotidienne dans un quartier populaire de Port-au-Prince, ce formidable film offre un regard émouvant et drôle sur les Haïtiennes.» (La Croix)
«Gessica Généus filme avant tout le quotidien de la vie, dans des plans séquences qui rendent justice à son ambiguïté : une discussion entre sœurs, des retrouvailles amoureuses, l’annonce d’une grossesse, chaque situation est prise dans son creux plutôt que dans son plein, évitant ainsi les écueils du film édifiant pour se concentrer sur les va-et-vient des consciences dans un pays où chaque choix peut devenir question de vie ou de mort.» (Libération)
«Son film tonique s’apparente à un exorcisme vaudou qui tenterait courageusement de dissoudre les squelettes qui hantent les placards de cette île blessée, afin de restaurer les fondements de l’identité haïtienne.» (Le Figaro)


PARTENARIAT
Sortie en collaboration avec le FIFDH – Festival du film et forum international sur les droits humains, du 4 au 13 mars à Genève


films du mois

18h30

Haut et Fort

De Nabil Ayouch
Fiction, Maroc, France, 2021, 1h41, v.o s-t fr., 16/16

Anas, ancien rappeur, est embauché comme animateur dans un centre culturel de Casablanca. Avec son aide, les ados s’emparent du rap et du hip-hop pour scander leur rage, leurs peurs et leur rejet des traditions.
Après Much Loved, projeté en présence du cinéaste en 2016, et Razzia en 2018, le CityClub projette le nouveau film de Nabil Ayouch, Haut et Fort, sélectionné en compétition au dernier Festival de Cannes. S'inspirant de son enfance, Nabil Ayouch transcrit l'énergie d'une jeunesse marocaine au bord de l'implosion, son furieux besoin de changement et la puissance libératrice de la musique. Une comédie musicale jubilatoire, portée avec force par de jeunes acteurs et actrices non professionnels.
«Décoiffant, émouvant, dansant, le film, interprété par ceux, professeur comme élèves, qui y jouent leurs propres rôles, épate tant par sa fibre sociale que par cet hommage que le cinéaste rend au bouillonnement de la jeunesse et à ces centres culturels qui leur permettent de franchir toutes les barrières.» (Le Parisien)
«D’abord décontenancé par le sujet, on se laisse très vite emporter par la jubilation de voir un film lumineux être pourtant aussi politique et inquiet sur l’état du monde.» (CinémaTeaser)
«Sous le regard impénétrable d'un prof exigeant, une dizaine de jeunes affûtent leurs rimes, dépassent les clichés importés, expriment les maux de leur quotidien. Un combat pas gagné mais porté, ici, par une jeunesse pleine d'élan et d'éclat.» (Le JDD)


PARTENARIAT
Sortie en collaboration avec le FIFDH – Festival du film et forum international sur les droits humains, du 4 au 13 mars à Genève

films du mois

20h30

Clara Sola

De Nathalie Álvarez Mesén
Fiction, Costa Rica, Belgique, 2021, 1h48, v.o. s-t fr., 16/16

Dans un village reculé du Costa Rica, Clara, une femme de 40 ans renfermée sur elle-même, entreprend de se libérer des conventions religieuses et sociales répressives qui ont dominé sa vie, la menant à un éveil sexuel et spirituel...
Pour son premier long-métrage, présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, la cinéaste costaricienne-suédoise Nathalie Álvarez Mesén relate l'émancipation d'une femme, en empruntant au réalisme magique propre au cinéma latino-américain. Mené par la danseuse Wendy Chinchilla Araya, Clara Sola est une œuvre forte, atmosphérique et sensorielle, interrogeant notre rapport à la nature, au corps et à nos libertés.
«S’il est dans la retenue, Clara Sola est pourtant, aussi, un film généreux. Par sa séduisante beauté d’abord, par ses clins d’œil à un cinéma de genre juteux (dont Carrie semble le cousin le plus évident), par ses excitants paradoxes. C’est un film intérieur et expressif, qui parle de réel et de miracle, où le spectaculaire est minimaliste, où le minimalisme est spectaculaire – voilà une flamboyante révélation qui résiste aux cases, qui nous cueille et nous fascine.» (Le Polyester)
«Clara Sola, le premier film sacrément féministe de Nathalie Álvarez Mesén. Un conte subtil et inventif qui démonte le poids du patriarcat.» (Libération)

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