12 décembre


Ciné-seniors

14h30

Moi qui t'aimais

De Diane Kurys
Fiction, 2025, France, 1h59, en français, 16/16 

Elle l’aimait plus que tout, il l’aimait plus que toutes les autres. Simone Signoret et Yves Montand formaient le couple le plus célèbre de leur temps. Hantée par la liaison de son mari avec Marilyn Monroe et meurtrie par toutes celles qui ont suivi, Signoret a toujours refusé le rôle de victime. Ce qu’ils savaient, c’est qu’ils ne se quitteraient jamais.


« La transformation de Roschdy Zem et de Marina Foïs, joliment mise en cène en guise de prélude, s'approche des personnages originaux tout en gardant une marge de réinvention - un choix humble et honnête. » Femme Actuelle

« Marina Foïs, qui avait refusé de jouer toute la vie de Signoret – Kurys a donc resserré le scénario sur les dernières années –, incarne parfaitement le rôle. Sans ostentation ni ridicule, elle est juste. »Le Point


Ciné-seniors
Un à deux vendredis après-midi par mois, une séance spéciale, ouverte à toutes et à tous, organisée pour les seniors avec Pro Senectute Vaud.


films du mois

18h

Les enfants vont bien

De Nathan Ambrosioni
Fiction, France, 2025, 1h51, en français, 12/16

Un soir d’été, Suzanne, accompagnée de ses deux jeunes enfants, rend visite à sa sœur Jeanne. Celle-ci est prise au dépourvu : elles ne se sont pas vues depuis plusieurs mois, mais surtout Suzanne semble comme absente à elle-même. Au réveil, Jeanne découvre le mot laissé par sa sœur. La sidération laisse place à la colère lorsqu’elle comprend qu’aucune procédure de recherche ne pourra être engagée : Suzanne a fait le choix insensé de disparaître et de lui laisser les enfants…

Après Toni en famille en 2023, le jeune réalisateur Nathan Ambrosioni retrouve l'actrice Camille Cottin pour son troisième-long métrage, traitant de la famille et du droit de disparaître, accompagnés de l'autrice, chanteuse et actrice Juliette Armanet. Cinéaste prodige, Nathan Ambrosioni est considéré comme l'un des plus prometteurs de sa génération et sera présent au Cinéma CityClub pour présenter son film le mardi 9 décembre.


« Le jeune cinéaste n’a pas son pareil pour reconstituer des moments d’enfance justes, crédibles et qui transpirent la véracité. Des instants pris sur le vif ou préparés mais qui, dans les deux cas, sonnent vrai. » (Jorik Vesperhaven, Sens Critique)



films du mois

20h15

L'amour qu'il nous reste

de Hlynur Pálmason
Fiction, Islanded/Suède/France/Danemark, 2025, 1h49, v.o. islandais sous-titrée français, 12/16

La trajectoire intime d’une famille dont les parents se séparent. En l’espace d’une année, entre légèreté de l’instant et profondeur des sentiments, se tisse un portrait doux-amer de l’amour, traversé de fragments tendres, joyeux, parfois mélancoliques. Un regard sensible sur la beauté discrète du quotidien et le flot des souvenirs qui s’égrènent au rythme des saisons.
HLYNUR PÁLMASON A PROPOS DE SON FILM
« Souvent, on s’imagine que ce qui compte le plus, ce sont les grands événements, la politique. À mes yeux, le plus important dans la vie d’un être humain, ce sont les petites choses proches de nous, qui relèvent de l’intime : nos relations avec notre famille, nos frères et sœurs, nos enfants, la nature, l’endroit où l’on vit. […] Montrer les choses telles qu’elles sont, sans artifice. Je ressentais l’envie et le besoin de parler de l’intime, de l’ordinaire ou même de la laideur, sans chercher le spectaculaire, le remarquable, la perfection. C’est un film sur le quotidien, le familier et l’étrange, avec un aspect onirique. »


« Chapitré par saisons, d’un printemps à l’autre, "L’Amour qu’il nous reste" se pare aussi d’un humour à froid, grâce notamment à quelques passages oniriques représentant ces choses que l’on peut parfois s’imaginer, notamment par désir qu’un karma vienne rétablir une certaine justice. S’amusant avec ces représentations, l’auteur questionne aussi la virilité du père, tandis qu’il affirme le désir d’émancipation de la mère, au sein de cette comédie dramatique surprenante et pleine de tendresse où la nature islandaise, filmée en gros plan joue le rôle ponctuel de facteur d’apaisement. » (Olivier Bachelard, Abus de Ciné)


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