14 décembre


Le P'tit CityClub

11h
15h

Ciné-concert : Nanouk, l'esquimau

DÈS 6 ANS

L’incontournable documentaire sera présenté dans une formule ciné-concert inédite : le musicien Alexandre Cellier accompagnera la projection, aux côtés de la comédienne Valérie Liengme qui contera les intertitres de ce film muet plus que centenaire.
à l’écran : projection du film nanouk, l’esquimau de robert flaherty

(Documentaire, Etats-Unis/France, 1922, 1h18, muet, 6/10 ans) – L’explorateur Robert Flaherty nous fait partager dans ce grand classique du cinéma les joies et les peines de la vie du chasseur Nanouk et de sa famille dans le Grand Nord canadien des années 1920. Scènes de vie, à l’extérieur ou dans l’igloo, humour, tendresse, poésie des images et beauté des grands déserts glacés : Nanouk, l’Esquimau est un chef-d’œuvre intemporel, qui a considérablement influencé le genre documentaire. Un portrait de vie d’Inuits fascinant et envoûtant !


sur scène : alexandre cellier et valérie liengme
Alexandre Cellier est un musicien et compositeur passionné de rencontres musicales et de créations interactives qui a la drôle de manie de détourner des objets du quotidien en instruments de musique. C’est avec son âme d’enfant et son imagination sans fin qu’il nous emmène dans un monde ludique, poétique, teinté de jazz et d’horizons lointains. Il sera accompagné sur scène de la comédienne Valérie Liengme qui proposera une lecture théâtrale des intertitres, afin de rendre ce film muet encore plus immersif pour tous les enfants.
LE P'TIT CITYCLUB
> Le programme de septembre à décembre 2025 
INFOS PRATIQUES
Portes: 30 minutes avant le début des représentations
Durée du ciné-concert : environ 1h20
Tarif unique: 12.- par entrée.

films du mois

18h

Love Me Tender

d'Anna Cazenave Cambet
Fiction, France, 2025, 2h13, en français

À la fin de l’été, Clémence révèle à son ex-mari qu’elle a eu des relations avec des femmes. Sa vie bascule lorsqu’il entame une procédure pour lui retirer la garde de leur fils. Commence alors un long combat de plusieurs années, au cours duquel Clémence devra défendre son droit d’être mère et femme, libre de faire ses propres choix.

Adapté de l'ouvrage du même nom de Constance Debré, sorti en 2020 et retraçant en autofiction son combat suite à la perte de garde de son fils, le film de la jeune cinéaste Anna Cazenave Carbet a fait ses débuts à Cannes dans la section Un Certain Regad, et suit Clémence, brillamment interprétée par l'actrice Vicky Krieps, dans son combat pour une émancipation identitaire envers et contre tout. 


« Anna Cazenave Cambet adapte le livre autobiographique de Constance Debré sans en effacer la radicalité, mais en y insufflant romanesque et sentimentalité. Une réussite. » (Boris Bastide, Le Monde)

« Dans son second long-métrage Anna Cazenave Cambet, offre une lecture très personnelle du roman autobiographique de Constance Debré. Un ouvrage de cinéma délicat, servit par une prestation magistrale de Vicky Krieps. » (Adrien Gombeaud, Les Échos)



films du mois

20h30

L'amour qu'il nous reste

de Hlynur Pálmason
Fiction, Islanded/Suède/France/Danemark, 2025, 1h49, v.o. islandais sous-titrée français, 12/16

La trajectoire intime d’une famille dont les parents se séparent. En l’espace d’une année, entre légèreté de l’instant et profondeur des sentiments, se tisse un portrait doux-amer de l’amour, traversé de fragments tendres, joyeux, parfois mélancoliques. Un regard sensible sur la beauté discrète du quotidien et le flot des souvenirs qui s’égrènent au rythme des saisons.
HLYNUR PÁLMASON A PROPOS DE SON FILM
« Souvent, on s’imagine que ce qui compte le plus, ce sont les grands événements, la politique. À mes yeux, le plus important dans la vie d’un être humain, ce sont les petites choses proches de nous, qui relèvent de l’intime : nos relations avec notre famille, nos frères et sœurs, nos enfants, la nature, l’endroit où l’on vit. […] Montrer les choses telles qu’elles sont, sans artifice. Je ressentais l’envie et le besoin de parler de l’intime, de l’ordinaire ou même de la laideur, sans chercher le spectaculaire, le remarquable, la perfection. C’est un film sur le quotidien, le familier et l’étrange, avec un aspect onirique. »


« Chapitré par saisons, d’un printemps à l’autre, "L’Amour qu’il nous reste" se pare aussi d’un humour à froid, grâce notamment à quelques passages oniriques représentant ces choses que l’on peut parfois s’imaginer, notamment par désir qu’un karma vienne rétablir une certaine justice. S’amusant avec ces représentations, l’auteur questionne aussi la virilité du père, tandis qu’il affirme le désir d’émancipation de la mère, au sein de cette comédie dramatique surprenante et pleine de tendresse où la nature islandaise, filmée en gros plan joue le rôle ponctuel de facteur d’apaisement. » (Olivier Bachelard, Abus de Ciné)


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