19 février


Le P'tit CityClub

11h

Pompon Ours, petites balades et grandes aventures

DÈS 4 ANS

courts-métrages de Matthieu Gaillard
France, 2022, en français, 49’, 0/6 ans

Une nouvelle journée se lève sur la forêt et Pompon, un petit ourson qui croit en son imaginaire, s’interroge… Que va-t-il bien pouvoir faire aujourd’hui? Écrire un poème pour son papa en s’inspirant des éléments de la nature qu’il croise sur son chemin, partir en expédition avec sa maman pour trouver un trésor, fabriquer une constellation pour les ratons laveurs, s’aventurer dans la forêt à la recherche d’un petit frère ou sur les traces du mystérieux Zarbidule…: la truffe au vent et la tête pleine d’idées, Pompon est prêt à vivre des aventures pleines de joie et de poésie avec ses proches. Avec lui, grandir est un jeu d’enfant!
Chaque histoire de ce programme adapté des ouvrages de Benjamin Chaud présente la relation que Pompon entretient avec l’un de ses proches – son papa, sa maman, sa meilleure amie Rita ou Coin-Coin le caneton – et mettent en scène des besoins et des rêves propres aux enfants. Des courts-métrages pleins de malice et de tendresse qui rendent hommage à la curiosité et l'émerveillement des enfants et nous interrogent sur nos sentiments, nos émotions et nos envies.


SÉANCE RELAX
Dimanche 5 mars à 15h
Les séances «Relax» offrent un cadre bienveillant et rassurant aux familles avec un enfant en situation de handicap: ouvertes à toutes et à tous, encadrées par des personnes compétentes, elles donnent la possibilité aux enfants de s'exprimer, d’entrer et de sortir de la salle à tout moment, de se manifester, avec un respect pour chacun et chacune.

LE P'TIT CITYCLUB
> Le programme de janvier à mai 2023
INFOS PRATIQUES
Portes: 30 minutes avant le début des projections
Tarifs: CHF 10.- par entrée / 5.- par enfant dès le deuxième enfant


Le P'tit CityClub

14h30

Dounia et la princesse d'Alep

DÈS 8 ANS

De Marya Zarif et André Kadi
Animation, Canada, France, 2022, 1h13, en français, 8/8 ans

Dounia a 6 ans. Elle est obligée de quitter sa maison d'Alep, accompagnée de son grand-père et de sa grand-mère. Elle part avec quelques graines de nigelle au creux de la main et le cœur chargé des histoires fabuleuses que lui racontaient ses parents. Ensemble, ils entreprennent un voyage périlleux afin de trouver le nouveau foyer qui, Dounia en est sûre, les attend quelque part. Et elle peut compter sur l'aide de la princesse d'Alep.
Sélectionné au Festival d'Annecy en 2022, réalisé dans un style animation sobre et élégant, Dounia et la princesse d’Alep aborde la question de l'exil en choisissant de montrer le précieux optimisme de la petite Dounia. Un film charmant, où les personnages chantent et dansent, portés par le sons des ouds et des flûtes, qui célèbre l'approche festive de la vie même lorsqu'elle est difficile.

LE P'TIT CITYCLUB
> Le programme de janvier à mai 2023
INFOS PRATIQUES
Portes: 30 minutes avant le début des projections
Tarifs: CHF 10.- par entrée / 5.- par enfant dès le deuxième enfant


films du mois

17h

La Femme de Tchaïkovski

De Kirill Serebrennikov
Fiction, France, Suisse, Russie, 2022, 2h23, v.o. s-t fr., 16/16

Antonina Miliukova, jeune femme aisée et brillante, n’a qu’une idée en tête: épouser le célèbre compositeur Piotr Tchaïkovski. À sa surprise, il accepte cette union, espérant ainsi faire taire les rumeurs sur son homosexualité. Mais l’amour qu’elle lui porte n’est pas réciproque. Bientôt rejetée et humiliée, Antonina Miliukova sombre alors dans la folie et, consumée par ses sentiments, elle est prête à tout endurer pour rester auprès de lui…
Homme de cinéma, de théâtre et d’opéra, le dissident Kirill Serebrennikov (Leto, La Fièvre de Petrov) nous plonge avec force dans cette relation désastreuse, basée sur des faits réels. Sélectionné en compétition à Cannes, La Femme de Tchaïkovski brosse avec finesse le portrait complexe de la société russe de la fin du XIXe siècle.
«Kirill Serebrennikov réinvente totalement la biographie du compositeur à travers les yeux de sa femme, Antonina, qui luttera toute son existence contre sa dépendance à cet homme et son désir de le garder pour elle. En réalité, la musique, l’homosexualité du pianiste, s’effacent au bénéfice du portrait de cette femme qui semble, pour le cinéaste, incarner à elle toute seule l’état d’une société russe à la fin du XIXe siècle, hantée par un patriarcat tout-puissant.» (aVoir-aLire)
«Dans ce film somptueux éclairé à la bougie et inspiré par les tableaux d'Ilya Répine, Serebrennikov peint la Russie du dernier tiers du XIXe siècle dans tous ses contrastes.» (Le Point)
«C’est dans un final magistral qui n’est pas sans rappeler Leto et La Fièvre de Petrov, que Kirill Serebrennikov enfonce le clou de son film le plus noir et le plus cynique à ce jour, mais aussi sans doute le plus riche dans une complexité très surprenante, à rebours de sa structure de film historique en costumes.» (Le Bleu du Miroir)
«La Femme de Tchaïkovski est une œuvre au noir, terrible et splendide, une leçon de ténèbres, en même temps que la révélation d’une histoire méconnue.» (Télérama)


films du mois

20h

Sous les figues

D'Erige Sehiri
Fiction, Tunisie, Suisse, France, Qatar, Allemagne, 2021, 1h32, v.o. s-t fr., 8/14

Au nord-ouest de la Tunisie, des jeunes femmes travaillent à la récolte des figues. Sous le regard des ouvrières plus âgées et des hommes, elles flirtent, se taquinent, se disputent. Au fil de la journée, le verger devient un théâtre d'émotions, où se jouent les rêves et les espoirs de chacun.
Un huis clos à ciel ouvert, qui bouillonne de sensualité et de réalisme, dans lequel les dialogues rhomériens faussement anodins brossent le portrait complexe des mœurs de la Tunisie d’aujourd’hui.
En filmant les jeune femmes au plus près de leur visage et de leurs émotions, la cinéaste Erige Sehiri réalise une œuvre romanesque et revigorante, notamment sélectionnée à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes.
«À la fois théâtre du conservatisme, de l’émancipation et de la domination sociale, Sous les figues révèle magnifiquement le subtil portrait d’une Tunisie perdue entre désir de liberté et respect des traditions.» (aVoir-aLire)
«Ce geste créateur, délicat et nuancé, fait de ce premier film une jolie réussite et rappelle qu’un acte politique réside également dans sa capacité à remettre de la douceur dans une situation minée par la violence des rapports sociaux.» (Culturopoing.com)
«À cet éternel questionnement amoureux, marivaudage des temps présents, la cinéaste tunisienne greffe une note réaliste qui finit par transformer ce que l’on avait perçu comme un éden en représentation étroite et d’autant plus éloquente d’une société, d’une époque, avec en métaphore la pourriture, sous la joliesse de l’image, la maturité des fruits comme celle des âges.» (Les Inrockuptibles)
«Dans un verger aux airs de jardin d’Eden, auréolé d’un ciel bleu éclatant, ce film "instinctif" et doux-amer pénètre avec un naturel et une infinie empathie dans l’intimité des jeunes ouvrières agricoles (et ouvriers) pendant la récolte des figues. Leurs rudes conditions de vie, pas même esquissées, se devinent en arrière-plan.» (La Croix)

RENCONTRE CINÉMA
En présence de la cinéaste par visionconférence le mardi 24 janvier à 20h
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