24 novembre


Festival

10h

Festival Cinéma Jeune public

Le Cinéma CityClub accueille la dixième édition du Festival Cinéma Jeune Public qui propose, à Lausanne et Pully, des films indépendants récents, des classiques du septième art, des rencontres, des ateliers et des ciné-concerts pour les enfants dès 3 ans, les jeunes, les familles et les écoles.

PROGRAMME COMPLET DU FESTIVAL
> Sur le site du festival
> Programme en pdf

Samedi 23 novembre à 10h
"Sous les étoiles" / Dès 3 ans / 42 minutes
Programme de six courts-métrages pour vivre des aventures au fil de l’eau, des fleurs, des étoiles et de la lune.
Séance suivie d'un atelier / En présence de la réalisatrice Malin Neumann
> Billets en ligne

SAMEDI 23 NOVEMBRE À 11H
Projection de The Mountain de Rachel House (Nouvelle Zélande, 2024, 1h29, v.o. s-t fr. dès 10 ans)
Sam, une jeune fille intrépide élevée en dehors de sa culture maorie, est déterminée à remplir sa mission : se connecter à la montagne Taranaki dans l’espoir qu’elle la guérisse de son cancer. En chemin, elle rencontre Mallory et Branco. Ensemble, iels apprennent le véritable esprit d’aventure et la magie de l’amitié.
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Samedi 23 novembre à 14h
Projection de Renard et Lapine sauvent la forêt de Masha Halberstad (Pays-Bas, 2023, 1h10, en français, dès 4 ans)
Il se passe des choses étranges dans la forêt ! Hibou a disparu, des rats malicieux terrorisent le voisinage et un lac déborde, menaçant les maisons des habitants de la forêt. Serait-ce l’œuvre d’un castor mégalomane? Renard et Lapine sont bien décidés à le découvrir. Ils doivent retrouver Hibou et sauver la situation. Leur amitié sera mise à rude épreuve!
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Dimanche 24 novembre à 10h
"Tintamarre" / Dès 3 ans / 1h
Programme de six courts-métrages ponctué d’activités pour les enfants,
leur permettant de vivre des expériences sensibles avec les films: mouvement, danse, jeux.
> Billets en ligne

Dimanche 24 novembre à 13h30
Projection de Los Tonos Majores de Ingrid Pokropek (Argentine/Espagne, 2024, 1h41, v.o. s-t fr., dès 12 ans)
Pendant les vacances d’hiver, Ana, quatorze ans, découvre que la plaque de métal qu’elle a dans le bras à la suite d’un accident dont elle a été victime dans son enfance reçoit un étrange message en code morse.

INFOS PRATIQUES
Tarif plein: CHF 15.- / 20.- (prix de soutien)
Tarif moins de 25 ans: CHF 7.-
Tarif réduit (AVS, AC, AI, Chômage, Carte Culture Caritas): CHF 12.-
Écoles: CHF 5.-
Accompagnant·exs PMR, détenteur·icexs permis réfugié, RI: gratuit


films du mois

16h15

à son image

De Thierry de Peretti
Fiction, france, 2024, 1h53, en français, 16/16

Fragments de la vie d’Antonia, jeune photographe de Corse-Matin à Ajaccio. Son engagement, ses amis, ses amours se mélangent aux grands événements de l’histoire politique de l'île, des années 1980 à l'aube du XXIe siècle. C’est la fresque d’une génération…
Le réalisateur corse Thierry de Peretti, à qui l'on doit Une vie violente, Enquête sur un scandale d'état et Les Apaches, adapte un roman de Jérôme Ferrari et réalise un film ample sur l’histoire de la Corse de la fin du XXe siècle, en brossant le portrait d'une jeune photographe de presse amoureuse d’un indépendantiste. Sélectionné à la Quinzaine des Cinéastes à Cannes.

«L’autre force du film tient dans la façon dont Thierry de Peretti, réalisateur natif de l’île, casse la chronologie, truffe le film d’images d’archives marquantes, multiplie les scènes aussi magnifiques qu’inattendues, étonne par ses choix musicaux : sa mise en scène secoue le spectateur autant qu’elle l’émeut.» (Le Parisien)

«Entre grande fresque romanesque et théorie sur le rôle de la photographie, c’est autant la chronique d’une vie que des images, une réflexion sur leur capacité ou non à immortaliser le réel et la part d’obscénité de cette entreprise.» (Les Inrockuptibles)

«À son image n’en est pas moins un chant lyrique, plein d’innocence et de violentes désillusions. D’images qui restent.» (Télérama)

«Le réalisateur d’"Une Vie violente" réarme l’obturateur de sa caméra pour faire entrer, à nouveau, le noir obscur des années de plomb en Corse. Il déclenche un récit brut, brillant comme une réflexion spéculaire. Le reflet rayonnant d’un nationalisme mortifère.» (Bande à part)


films du mois

18h30

no other land

De Basel Adra, Yuval Abraham, Hamdan Ballal et Rachel Szor
Doc., palestine/norvège, 2024, 1h36, v.o. s-t fr., 16/16

Depuis plus de cinq ans, Basel Adra, un activiste palestinien en Cisjordanie, filme l’expulsion de sa communauté par l'occupation israélienne qui détruit progressivement les villages et chasse ses habitants. Il rencontre Yuval, un journaliste israélien, qui le soutient dans ses démarches. Entre méfiance, colère et camaraderie naît une alliance impossible et un film déchirant, qui ouvre à la fois blessures et dialogue.
La rencontre entre Basel, qui enregistre l’occupation et la destruction de son village en Cisjordanie, et Yuval, un jeune militant israélien. Sacré meilleur documentaire à Berlin et lauréat du Prix du public à Visions du Réel, No Other Land, réalisé par un collectif palestino-israélien, est un film poignant et un acte créatif qui ouvre le dialogue. Sortie organisée en collaboration avec Ciné-doc et Visions du Réel on Tour.

«Basel Adra et Yuval Abraham sont ennemis - du moins sur le papier. Ils étaient pourtant réunis en février dernier sur la scène de la Berlinale pour recevoir leurs récompenses (Prix du meilleur documentaire, Prix du public), faire un discours, proclamer leur amitié au monde, leur collaboration possible et tenter d’envoyer ainsi un message d’espoir et de paix. Immédiatement après leurs mots, ils recevaient des menaces de mort. No Other Land, coréalisé avec Hamdan Ballal et Rachel Szor, est pourtant une démonstration qu’un dialogue est possible. Entre des scènes d’évacuation et de destruction d’une urgence extrême capturées dans le risque au téléphone portable, le film laisse la part belle aux silences, aux regards. Car il n’y a souvent plus rien à dire. La fumée du narguilé envahit l’écran et sublime l’immense intelligence humaine du film. Savoir se taire, partir si l’on peut, quand il le faut, rester humble devant une telle dualité: alors que l’un bouillonne de la colère impérieuse du militantisme, l’autre incarne l’oppression et la lutte depuis des générations.» (Anne Delseth, programmatrice Cinéma CityClub / Visions du Réel)

partenariat
Sortie en collaboration avec Ciné-doc et Visions du Réel on Tour
> Le site de Ciné-doc
> Le site de Visions du Réel on Tour
rencontre
Vendredi 1er novembre à 20h, projection en présence de Pierre Hazan, conseiller auprès du Centre pour le dialogue humanitaire et auteur de l'ouvrage «Négocier avec le diable, la médiation dans les conflits armés»
> Toutes les informations

films du mois

20h30

riverboom

De Claude Baechtold
doc., suisse, 2024, 1h39, en français sous-titré anglais, 12/14

Riverboom, c'est l’odyssée déjantée de trois jeunes reporters de guerre dans le chaos afghan, peu après les attentats du 11 septembre 2001: Serge Michel, un journaliste genevois bourreau de travail, Paolo Woods, un photographe de guerre florentin aussi jovial qu’inconscient, et Claude Baechtold, un typographe suisse d'une prudence maladive. Embarqué dans cette aventure malgré lui, Claude achète une caméra video au bazar de Kaboul pour filmer cette folle équipée qui va changer sa vie… avant de perdre les cassettes pendant vingt ans.

Riverboom raconte avec humour et auto-dérision le périple mené en 2002 par trois acolytes (Claude Baechtold et les reporters Serge Michel et Paolo Woods) à travers l'Afghanistan, peu après les attentats du 11 septembre 2001. À la fois road-movie entre amis, tragi-comédie documentaire, reportage de guerre et récit de voyage, Riverboom, œuvre surprenante et au ton résolument absurde, est à l'affiche tout le mois de novembre.

«Le temps d’un film, ce pays habituellement synonyme d’enjeux géopolitiques désastreux et de condition féminine bafouée, s’est mué en terrain propice à de drolatiques aventures. Celles de Serge, journaliste suisse moraliste et toujours pressé, de Paolo, photographe décontracté jusqu’à l’inconscience et de Claude, typographe timoré, embarqué à l’insu de son plein gré pour filmer "l’usage du monde" avec un caméscope qu’il sait à peine faire fonctionner.» (L'Obs)

rencontres
Rencontres en présence du cinéaste, Claude Baechtold:
Mardi 29 octobre à 20h
Mardi 5 novembre à 20h30
Vendredi 8 novembre à 20h30

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